Gros sur la patate

25Avr/18Off

La tête comme dans les étoiles

Il y a quelques semaines, j'ai eu la chance de vivre une des expériences les plus magiques qui soient : j'ai réalisé un vol en apesanteur. Ca s'est passé à New York, à bord d'un avion zéro G : un Boeing 727 conçu pour monter et redescendre d'un coup ; pendant chaque phase de descente, l'on profite alors de 20 secondes d'apesanteur. C'est clairement trop peu, mais c'est la seule façon qu'on ait trouvée jusqu'ici pour tester l'apesanteur sans quitter la Terre ! Cette aventure m'a excité. Du coup, depuis, je cogite sans cesse à l'époque fabuleuse qui est la nôtre. Et même si pas mal de gens ne le remarquent pas, nous avons réactivé la conquête spatiale ! Si celle-ci s'est terminée après les premiers pas sur la Lune, elle est à nouveau très convoitée. Tous les indices l'affirment : le regain d'intérêt du public ; les premiers pas de SpaceX ; les missions sur Mars qui se multiplient ; les films où l'espace devient un lieu hospitalier qui deviennent monnaie courante... Tout cela révèle l'intérêt des gens sur le sujet, et l'investissement des chercheurs. Car cette fois, le défi ne se limite pas simplement à une course entre deux puissances : il doit permettre à l'être humain de quitter son berceau. Le phénomène de surpopulation fait que notre bonne vieille planète est dépassée : nous courons au désastre. Ce qui conduit à deux solutions extrêmes : un effondrement soudain de la population, conséquence d'une épidémie majeure ; ou la conquête spatiale. En réalité, je pense qu'on aura droit aux deux. Le programme spatial ne mènera pas à des mouvements de population avant des années ; et les problèmes générés par la surpopulation conduiront probablement à la guerre ou la maladie d'ici là... Quoi qu'il en soit, si vous rêvez de sentir une sensation résolument étrangère à notre monde, envisagez le vol en apesanteur ! On peut difficilement trouver plus incroyable ! Vous pouvez voir le détail du programme sur ce site. Pour plus d'informations, allez sur le site de ce vol parabolique.

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18Avr/18Off

Entrée et sortie d’eau de surface

Les milieux humides peuvent recevoir des eaux de surfaces situées en amont ou bien des ruisseaux peuvent provenir des milieux humides pour alimenter les systèmes situés en aval. Ces zones sont souvent importantes pour la régulation du débit d’eau des rivières en aval et certaines ont des sorties d’eau de surface uniquement lorsque leur niveau d’eau dépasse un niveau critique. Les milieux humides sont soumis à plusieurs types d’entrées d’eau de surface, par exemple, par le ruissellement, qui est un écoulement non canalisé et qui se produit habituellement pendant et immédiatement après des précipitations ou un dégel. L’importance de ces apports diffus dépend du volume, de la durée et de l’intensité des pluies sur le versant mais également du mode d’occupation des sols, de leur état de surface et de leur niveau de saturation (Barnaud, 2007). Un milieu humide peut aussi être influencé par un bassin de drainage et donc recevoir cette fois-ci un écoulement canalisé pendant la majeure partie ou la totalité de l’année. Un cas particulier de l'écoulement de surface se produit dans les milieux humides qui se trouvent dans les plaines inondables en bordure de rivières ou de cours d'eau et qui sont parfois inondées par ceux-ci. L'inondation de ces milieux humides varie en intensité, en durée et en nombre d’une année sur l’autre (Mitsch et Gosselink, 2015).

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